Interviewer: How about “Jealousy?” That’s in the middle of the disc, and definitely a departure from the rest of the songs. It’s sandwiched in between romantic tunes, and then there’s this one that’s very angry.
Darren: Well, it’s not angry–
Interviewer: But it gets there–
Darren: It gets there, but it’s a coping song. I like to think I’m a pretty level-headed guy, and everyone would like to think that they’re pretty composed, so when we have these little moments of fault, you’re just like g–damnit. All this sure-headedness that I thought I had is being totally messed up, and I hate it. So, I wasn’t in a jealous rage by any means, but I was experiencing some sort of envy, and it was just pissing me off because it was so needless. I was literally like, “I hate where I’m at right now,” because I’m acting crazy and I’m doing all these things… The only way you can cope with this is knowing “it’s got nothing to do with me” or this person–it’s just this chemical reaction that is based out of primal, biological things, and once you come to that realization, it sort of asserts this power over those feelings. So that’s where “Jealousy” came from. It was me trying to conquer this very embarrassing fear that I just didn’t want around, so I think by the end of the song, the battle has been fought.
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Interviewer: Et a propos de “Jealousy?” Elle est au milieu du disque, et définitivement un au revoir au reste des chansons. Elle est prise en sandwich entre des chansons romantiques, et ensuite il y a celle ci qui est très colérique.
Darren: Et bien, elle n'est pas colérique-
Interviewer: Mais on y viens
Darren: On y viens, mais c'est une chanson pour tenir le coup. J'aime à penser que je suis quelqu'un qui a plutot la tête sur les épaules, et tout le mode aime penser qu'il est plutôt composé, donc quand tu as ces petits moments où tu craques, tu te dis merde! Tout deviens confus dans ma tete et je d"teste ça. Donc je n'était en aucun cas dans une rage jalousive, mais je vivais une sorte d'envie, et ça m'énervais parce que c'était tellement inutile. J'était littéralement en traind e me dire "Je déteste ce que je suis là maintenant," parce que je me comporte comme un fou et je fait toutes ces choses… Le seule moyen de gérer ça est de savoir "ça n'a rien à voir avec moi" ou cette personne - c'est juste cette réaction chimique basée sur des choses primaires et basiques, et quand tu te rend compte de ça, ça confirme en quelque sorte ce pouvoir sur ces sentiments. Donc c'est de là qu'est venu “Jealousy”. C'était juste moi, essayant de surpasser cette peur très embarassante dont je ne voulais pas, donc je pense qu'à la fin de la chanson, la bataille est gagnée.